Principes de l'Amortissement des Biens Corporels et Incorporels

Cette vidéo explore les principes généraux de l'amortissement, en se concentrant sur les biens corporels et les biens incorporels, ainsi que leurs spécificités.

Détails de la leçon

Description de la leçon

Dans cette leçon, nous abordons en détail les concepts d'amortissement relatifs aux biens corporels et incorporels. Tout d'abord, nous traitons des biens corporels, y compris les bâtiments et les matériels qui se déprécient en raison de l'usure du temps. Une exception notable ici est le cas des terrains, qui ne peuvent être amortis, car ils ne se déprécient pas de cette manière.

Ensuite, nous nous penchons sur les biens incorporels dont la dépréciation n'est pas liée à l'usure du temps. Cependant, il est possible d’amortir ces biens suivant le critère de la

Objectifs de cette leçon

Les objectifs de cette vidéo sont de :
1. Comprendre les concepts d'amortissement pour les biens corporels.
2. Apprendre les spécificités de l'amortissement des biens incorporels.
3. Découvrir les exceptions et les cas particuliers liés à l'amortissement.

Prérequis pour cette leçon

Pour suivre cette vidéo, il est recommandé d'avoir des connaissances de base en comptabilité et en finances d'entreprise.

Métiers concernés

Cette vidéo est particulièrement utile pour les comptables, les contrôleurs de gestion, et les experts fiscaux.

Alternatives et ressources

Comme alternatives ou compléments à cette vidéo, il est possible d'explorer des cours de comptabilité avancée ou des formations fiscales spécifiques.

Questions & Réponses

Les terrains ne peuvent pas être amortis parce qu'ils ne se déprécient pas en raison de l'usure du temps. Ils peuvent se déprécier pour d'autres raisons, mais pas à cause de l'usure du temps.
Le critère du 'normalement prévisible' permet d'amortir un bien incorporel si, dès sa création ou son acquisition, il est prévu que ses effets bénéfiques prendront fin à une date déterminée.
Non, les fonds de commerce ne peuvent pas être amortis en France, contrairement à certains pays comme l'Espagne, en raison de la non-introduction de certaines directives européennes dans le droit français.