Les Théories Économiques de la Monnaie

Cette séance examine l'évolution des théories économiques concernant la monnaie, en opposant les perspectives néoclassiques et keynésiennes, avec un focus sur la théorie quantitative de la monnaie et la préférence pour la liquidité.

Détails de la leçon

Description de la leçon

Bienvenue à cette nouvelle séance dédiée à l'étude de la monnaie dans les théories économiques. Nous allons explorer deux grandes perspectives : celle des néoclassiques et celle des keynésiens. La théorie centrale qui sera discutée est la théorie quantitative de la monnaie, initialement développée par Fischer au début du XXe siècle et plus tard actualisée par des économistes comme Milton Friedman et Robert Lucas.

En opposition, nous aborderons également la théorie de John Maynard Keynes, qui introduit le concept crucial de la préférence pour la liquidité. Cette notion est fondamentale pour comprendre les différences entre les deux approches en matière de politique monétaire.

Objectifs de cette leçon

Les objectifs de cette vidéo sont :
- Comprendre la théorie quantitative de la monnaie
- Explorer la notion de préférence pour la liquidité selon Keynes
- Comparer les théories néoclassiques et keynésiennes

Prérequis pour cette leçon

Il est recommandé d'avoir une connaissance de base en économie, notamment en macroéconomie et en théorie monétaire, pour suivre cette vidéo.

Métiers concernés

Ce sujet est particulièrement pertinent pour les économistes, les analystes financiers, les responsables de politiques publiques, et les chercheurs en sciences économiques.

Alternatives et ressources

D'autres théories économiques et modèles peuvent être considérés comme alternatives, telles que la théorie monétariste et les différentes écoles de pensée économique contemporaines.

Questions & Réponses

La théorie quantitative de la monnaie affirme que le niveau général des prix est directement proportionnel à la quantité de monnaie en circulation dans l'économie.
Le concept de préférence pour la liquidité a été introduit par John Maynard Keynes.
La principale différence réside dans la manière dont elles considèrent la relation entre la monnaie, l'inflation et la demande globale, les néoclassiques insistant sur la neutralité de la monnaie à long terme, tandis que les keynésiens mettent en avant le rôle de la monnaie dans les fluctuations économiques à court terme.