Introduction à l'Impression 3D Métallique
Objectifs
Dans cette vidéo, nous visons à :
- Expliquer les principes de fonctionnement des technologies DMLS et EBM.
- Présenter les avantages et les limites de l'impression 3D en métal.
- Mettre en avant les applications pratiques et industrielles de ces technologies.
Résumé
Cette vidéo explique les technologies DMLS et EBM pour l'impression 3D en métal, ainsi que leurs applications pratiques dans divers secteurs industriels.
Description
Dans cette leçon, vous découvrirez les technologies modernes de fabrication additive en métal, notamment le Direct Metal Laser Sintering (DMLS) et l'Electron Beam Melting (EBM). La méthode DMLS, très similaire au Selective Laser Sintering (SLS) utilisé pour les plastiques, nécessite l'ajout de supports pour des impressions stables et de qualité. Le processus implique un réservoir de poudre métallique, un ricotteur pour étaler la poudre, et une plateforme d'impression qui descend à chaque couche ajoutée. L'imprimante fusionne la poudre couche par couche pour créer des structures complexes telles que des arches, des stris fines, et des volumes vides, souvent impossibles à obtenir par fonderie traditionnelle.
Les matériaux supportés par DMLS incluent l'aluminium, le titane, les alliages de cobalt et d'acier, et les alliages de zinc. L'EBM, quant à lui, utilise un canon à électrons sous vide pour une fusion homogène des particules de poudre, produisant des pièces très résistantes mais nécessitant davantage d'usinage post-production.
L'impression 3D en métal utilise des équipements coûteux, avec des machines d'entrée de gamme à environ 1 million d'euros. Par conséquent, ces technologies sont principalement employées dans des industries de pointe telles que l'aéronautique, l'automobile, et le secteur médical, où les gains en termes de performance et de poids des pièces sont cruciaux. Finalement, malgré leur coût prohibitifs, ces technologies permettent la production de pièces fonctionnelles à haute performance mécanique, non seulement pour des prototypes mais aussi pour des applications directes.
Comme toute chose, il faut apprendre à marcher avant de pouvoir courir
J'en ressors moins profane. C'était le but.
Décevant car simple discours général de salon (pas inintéressant toutefois !) autour de l'impression 3D mais pas une vraie formation au sens apprentissage du terme.
Je suis prudent en évoquant le côté un peu daté de la formation car je suis un débutant total sur le sujet. S'il est avéré, ce côté daté m'apparait d'autant plus gênant qu'on parle de l'irruption d'une technologie, certes trentenaire, quasiment dans la vie de tous les jours et de sa rapide évolution et démocratisation. Manque également tout le côté "conseils pratiques pour aborder cette activité", à l'exception de la menton de quelques sites xommzexiet sociétés à faire intervenir dans un projet 3D.
Je ressors de cette formation avec un vernis sur le sujet mais pas même l'amorce du début d'un savoir faire. La volonté d'exhaustivité du formateur a largement nuit à sa démarche didactique. Evoquer de trop nombreuses technologies et problématiques devant un enfant de 8 ans (c'est l'âge que je me donne sur ce sujet) ne l'aide pas vraiment à "imprimer" (!) ces connaissances. Ca manque beaucoup d'images non pas d'objets réalisés, mais d'imprimantes réelles en action.
J'étais prêt à m'émerveiller devant la "magie" de l'impression 3D dont on me rebat les oreilles. Je ressors juste un peu plus "éduqué" sur le sujet.